Dans le cadre de la croissance verte, le bois est un pari sur l’avenir qui aura un impact majeur sur ce que l’on appelle l’architecture écologique.
Grâce à sa composition naturelle, le bois est une ressource primordiale pour la construction « renouvelable ». Son utilisation permet de réduire l’utilisation des autres matières premières employées en construction. Également, le bois permet de réduire la pollution des chantiers que ce soit par rapport aux bruits et à la poussière.
Les techniques de travail du bois permettent également de limiter le volume de déchets lié à la perte des chutes. Dans le cadre de l’économie circulaire, les chutes peuvent être réemployées pour produire de l’énergie par exemple, ou être dégradées en respect des normes de écologiques.
Au-delà de ses composantes positives pour l’environnement, le bois dispose d’autres atouts. L’approche du travail à évoluer ces dernières décennies transférant au bois des caractéristiques industrielles. Effectivement, la conception de structures pré-fabriquées concernant les murs ou les toitures, a permis de développer de nouvelles mécaniques plus performantes.
Le bois a une composante saine pour l’habitat puisque c’est un excellent isolant naturel et un très bon régulateur de l’humidité. Au-delà de son côté chaleureux et cosy, il a un avantage non négligeable comme l’économie d’énergie grâce à de hautes performances thermiques.
Le secteur bénéficie du regard global de la société civile qui place le bois comme un des symboles majeurs de lutte contre le changement climatique. À ce titre, l’architecture écologique constitue un nouveau rapport à l’ aménagement des territoires.
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